L'exposition de photos l'Impossible photographie, présentant les prisons parisiennes entre 1850 et le milieu du XXe siècle, est ouverte au musée Carnavalet depuis février. Trois bon mois que je veux y aller. Et aujourd'hui, entre deux réunions de préparation du Gala, j'y ai enfin mis les pieds. Et ça valait vraiment le coup.
Les photographies sont présentées dans l'espace d'exposition du rez-de-chaussée, séparé en deux grandes sections. La première est la partie historique, et regroupe par établissement pénitencier, des photographies prises au XIXe siècle. Les clichés sont superbes, à tel point qu'on en oublie parfois le sujet, jusqu'à la lecture du cartel, qui nous apprend que les prisons pour enfants étaient le lieu d'expérimentation sur l'alimentation : "voir à quel moment l'enfant commence à dépérir". A côté des photo, de nombreux panneaux détaillant l'histoire des prisons parisiennes. Ce qui fait de l'Impossible photographie une exposition longue et fournie. Le seul point négatif est l'agencement des clichés : plus ou moins par lieu, et non par thème.
La seconde partie de l'exposition est consacrée aux artistes contemporains, et aux prisons du XXIe siècle. Là, on passe au son, aux vidéos et à la couleur. Et forcément, les images sont tout de suite plus prenantes. Plus déprimantes aussi.
Et c'est là qu'on se rend compte que l'exposition est vraiment réussie.
Lo, X
Les photographies sont présentées dans l'espace d'exposition du rez-de-chaussée, séparé en deux grandes sections. La première est la partie historique, et regroupe par établissement pénitencier, des photographies prises au XIXe siècle. Les clichés sont superbes, à tel point qu'on en oublie parfois le sujet, jusqu'à la lecture du cartel, qui nous apprend que les prisons pour enfants étaient le lieu d'expérimentation sur l'alimentation : "voir à quel moment l'enfant commence à dépérir". A côté des photo, de nombreux panneaux détaillant l'histoire des prisons parisiennes. Ce qui fait de l'Impossible photographie une exposition longue et fournie. Le seul point négatif est l'agencement des clichés : plus ou moins par lieu, et non par thème.
La seconde partie de l'exposition est consacrée aux artistes contemporains, et aux prisons du XXIe siècle. Là, on passe au son, aux vidéos et à la couleur. Et forcément, les images sont tout de suite plus prenantes. Plus déprimantes aussi.
Et c'est là qu'on se rend compte que l'exposition est vraiment réussie.
Lo, X
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