Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis. En voyant sur mon programme télé la diffusion d'un match de rugby sur France 4 ce vendredi soir, j'ai décidé qu'il serait temps pour moi de ne pas mourir idiote, et d'en regarder un. Au pire, les cris des supporters/joueurs/commentateurs feraient un merveilleux fond sonore pour accompagner mes corrections de mémoires.
Sur le terrain, des rouges et des verts. C'est Noël en avril. Les rouges sont toulonnais, les verts sont irlandais (étonnant!), de la ville de Connacht. Les rouges et les verts ont donc pour mission de faire passer le ballon de l'autre côté de la ligne adverse. Comme dans n'importe quel sport quoi. Pour ça, les rouges et les verts courent, se rentrent dedans, de soulèvent par le short, et tentent de percer les lignes ennemies pour aller de l'avant dans le terrain adverse. Bon, y pas besoin d'avoir fait MatSup pour comprendre comment ça marche.
En revanche! Ce qui était intéressant dans ce match, c'est tout ce qui se passe en dehors du terrain, en particulier dans la cabine des commentateurs...
Tout d'abord, on apprend grâce à eux qu'un match de rubgy dépend essentiellement de la météo, plus que des joueurs. En particulier du vent. "Le vent blablabla parce qu'ils ont le vent de face blabla mais le vent est blablabla" ou quand Laurent Delahouse commente un match de rugby.
Puis nous faisons de la géographie "Connacht est à l'Ouest de l'Europe", "ici dans le Connemara". A défaut d'apprendre à jouer au rugby, j'ai révisé ma carte de l'Irlande.
Et enfin, on se rend compte qu'un match de rugby est dangereux... en touche. En témoigne le caméraman fauché par trois armoires à glace lancées à pleine puissance contre la barrière, et le caméraman se trouvant sur leur trajectoire.
Voila. J'ai changé de chaine au bout de la 45e minute, le débit de parole des commentateurs était bien trop élevé, même pour moi. Mais au moins, j'aurais fait preuve de curiosité et de bonne volonté!
Sur le terrain, des rouges et des verts. C'est Noël en avril. Les rouges sont toulonnais, les verts sont irlandais (étonnant!), de la ville de Connacht. Les rouges et les verts ont donc pour mission de faire passer le ballon de l'autre côté de la ligne adverse. Comme dans n'importe quel sport quoi. Pour ça, les rouges et les verts courent, se rentrent dedans, de soulèvent par le short, et tentent de percer les lignes ennemies pour aller de l'avant dans le terrain adverse. Bon, y pas besoin d'avoir fait MatSup pour comprendre comment ça marche.
En revanche! Ce qui était intéressant dans ce match, c'est tout ce qui se passe en dehors du terrain, en particulier dans la cabine des commentateurs...
Tout d'abord, on apprend grâce à eux qu'un match de rubgy dépend essentiellement de la météo, plus que des joueurs. En particulier du vent. "Le vent blablabla parce qu'ils ont le vent de face blabla mais le vent est blablabla" ou quand Laurent Delahouse commente un match de rugby.
Puis nous faisons de la géographie "Connacht est à l'Ouest de l'Europe", "ici dans le Connemara". A défaut d'apprendre à jouer au rugby, j'ai révisé ma carte de l'Irlande.
Et enfin, on se rend compte qu'un match de rugby est dangereux... en touche. En témoigne le caméraman fauché par trois armoires à glace lancées à pleine puissance contre la barrière, et le caméraman se trouvant sur leur trajectoire.
Voila. J'ai changé de chaine au bout de la 45e minute, le débit de parole des commentateurs était bien trop élevé, même pour moi. Mais au moins, j'aurais fait preuve de curiosité et de bonne volonté!