Il est des jours où votre horoscope vous dit que tout ira pour le mieux, que votre charme opérera sur tout, et que tous vos projets réussiront. Ben généralement, ces journées là, il faut les passer sous sa couette.
Parce qu'après être passée pour un tabouret GIFI déchiré (je renvois ici au Con Comme une Chaise d'Arthur), je suis allée au Centre Culturel Canadien pour le vernissage de l'installation de Robert Houle. Sauf que de cette exposition, nous n'avons entraperçu que la première salle, un journaliste bien imbibé et une hystérique canadienne... Pour cause d'alerte incendie provoquée par le journaliste mentionné ci-dessus. Nous avons donc du évacuer le bâtiment sans avoir pu parvenir au buffet. Drame. Drame tout d'abord parce que le ballon de rouge aurait été salutaire. Drame ensuite parce que je l'aurais bien vu moi cette exposition. Drame enfin parce que tous mes plans de soirée tombaient à l'eau.
Alors histoire de ne pas rester bêtement sur l'esplanade des Invalides, nous nous sommes dirigés... Vers le musée de l'Armée. Alors oui, lecteur chéri, tu y auras droit à chaque fois que j'y mettrais un orteil. Parce que mine de rien, ça fait matière à écrire tout un tas de blabla inutile. Et que le blabla inutile, j'aime ça.
Ce mardi, c'était le tout nouveau département moderne (qui a un autre nom désormais, mais dont je ne suis pas foutue de me rappeler, ça vous poussera à y aller!) de faire sa nocturne, présentée par l'APPHM.
Au programme du département moderne qui a un autre nom, des essayages d'épée, de chapeaux à plumes, des commentaires de la guerre de succession austro-hongro-polono-prusso-quelque chose, et de l'indépendance de la Grèce. Il y a aussi une très bonne muséographie : des panneaux bilingues qui se retournent, de nombreuses fiches de salle, et des reconstitutions de batailles, pardon, de victoires françaises en version numériques (très réussies et très pédagogiques!).
Point noir, parce que oui, il en faut bien un sinon ça n'est pas drôle, la lumière. On l'avait déjà dit l'année dernière, le musée de l'armée a eu un vent d'inspiration branlyèsque pour ce qui est de l'usage du noir, du noir, et du noir. Heureusement, arrivé dans la seconde partie du département, c'est plus clair, plus aéré, plus visible. Bref, bilan très positif.
Et tout ça en traînant un boulet qui en est ressorti convaincu. Et rien que pour ça, chapeau.
Lo, pas de pot
Parce qu'après être passée pour un tabouret GIFI déchiré (je renvois ici au Con Comme une Chaise d'Arthur), je suis allée au Centre Culturel Canadien pour le vernissage de l'installation de Robert Houle. Sauf que de cette exposition, nous n'avons entraperçu que la première salle, un journaliste bien imbibé et une hystérique canadienne... Pour cause d'alerte incendie provoquée par le journaliste mentionné ci-dessus. Nous avons donc du évacuer le bâtiment sans avoir pu parvenir au buffet. Drame. Drame tout d'abord parce que le ballon de rouge aurait été salutaire. Drame ensuite parce que je l'aurais bien vu moi cette exposition. Drame enfin parce que tous mes plans de soirée tombaient à l'eau.
Alors histoire de ne pas rester bêtement sur l'esplanade des Invalides, nous nous sommes dirigés... Vers le musée de l'Armée. Alors oui, lecteur chéri, tu y auras droit à chaque fois que j'y mettrais un orteil. Parce que mine de rien, ça fait matière à écrire tout un tas de blabla inutile. Et que le blabla inutile, j'aime ça.
Ce mardi, c'était le tout nouveau département moderne (qui a un autre nom désormais, mais dont je ne suis pas foutue de me rappeler, ça vous poussera à y aller!) de faire sa nocturne, présentée par l'APPHM.
Au programme du département moderne qui a un autre nom, des essayages d'épée, de chapeaux à plumes, des commentaires de la guerre de succession austro-hongro-polono-prusso-quelque chose, et de l'indépendance de la Grèce. Il y a aussi une très bonne muséographie : des panneaux bilingues qui se retournent, de nombreuses fiches de salle, et des reconstitutions de batailles, pardon, de victoires françaises en version numériques (très réussies et très pédagogiques!).
Point noir, parce que oui, il en faut bien un sinon ça n'est pas drôle, la lumière. On l'avait déjà dit l'année dernière, le musée de l'armée a eu un vent d'inspiration branlyèsque pour ce qui est de l'usage du noir, du noir, et du noir. Heureusement, arrivé dans la seconde partie du département, c'est plus clair, plus aéré, plus visible. Bref, bilan très positif.
Et tout ça en traînant un boulet qui en est ressorti convaincu. Et rien que pour ça, chapeau.
Lo, pas de pot
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