Le soleil brille, mon estomac digère lentement une overdose de chocolat, ma thèse avance, et je suis d'une bonne humeur à faire passer Betty Suarez pour une rabat joie. Donc j'ai décidé de me poser devant un film gentil. J'entends par là qui ne soit pas prise de tête (donc pas français), pas dégoulinant de mièvrerie, ni larmoyant. Non, un truc passe partout. Hidalgo, film américain de Johnston, sorti en 2004.
Hidalgo a fini chez moi après une discussion avec une amie à propos de ma passion immodérée pour l'Ouest américain, et la sienne de tout ce qui a quatre pattes et s'apparente à un cheval. Hidalgo, selon elle, réunissait les deux. Et Hidalgo est le point de départ d'une longue série de visionnage de "trucs" avec des peaux-rouges! Car bien que l'abandon du sujet de thèse ne soit qu'une blague faite à moi même, je ne perds pas de vue le développement de l'image de l'indien dans la culture populaire... Faut bien avoir un domaine de recherche un peu intéressant dans la vie!
Donc Hidalgo est un film... gentil. Avec de gentils acteurs, j'ai nommé Viggo Mortensen et Omar Sharif (un casting comme ça, ça ne s'invente pas), un joli cheval, de jolis paysages, et une fin totalement prévisible, 2h10 avant la fin.
Du point de vue amérindien de la chose, Hidalgo offre une magnifique image des Amérindiens = peuple du cheval, expression dite une bonne centaine de fois dans le film, aussi bien pour se rapporter aux Sioux qu'aux Bédouins.
Parce que oui, si le film commence à Wounded Knee et au Wild West Show de Buffalo Bill, il se termine au fin fond de l'Arabie Saoudite (d'où Omar Sharif, cqfd).
C'est beau vous dis-je, les Amérindiens sont de gentils sauvages vivant à l'air libre, ou ce sont les chevaux, enfin bref, c'est pareil!
Alors par contre... Un problème. Viggo Mortensen n'est pas un mauvais acteur, loin de là. Mais qu'on tente de lui faire jouer le fils d'une femme sioux... Avec ses cheveux blonds et ses yeux bleus, y a des limites à ne pas dépasser! On compensera ce détail iconographique par les scènes de découpage de bras, de fusillade dans les sérails, de galop à cru dans le désert... Je vous ai dit que c'était beau et gentil comme film ?
Lo, va aller faire un vrai travail de recherche maintenant
Hidalgo a fini chez moi après une discussion avec une amie à propos de ma passion immodérée pour l'Ouest américain, et la sienne de tout ce qui a quatre pattes et s'apparente à un cheval. Hidalgo, selon elle, réunissait les deux. Et Hidalgo est le point de départ d'une longue série de visionnage de "trucs" avec des peaux-rouges! Car bien que l'abandon du sujet de thèse ne soit qu'une blague faite à moi même, je ne perds pas de vue le développement de l'image de l'indien dans la culture populaire... Faut bien avoir un domaine de recherche un peu intéressant dans la vie!
Donc Hidalgo est un film... gentil. Avec de gentils acteurs, j'ai nommé Viggo Mortensen et Omar Sharif (un casting comme ça, ça ne s'invente pas), un joli cheval, de jolis paysages, et une fin totalement prévisible, 2h10 avant la fin.
Du point de vue amérindien de la chose, Hidalgo offre une magnifique image des Amérindiens = peuple du cheval, expression dite une bonne centaine de fois dans le film, aussi bien pour se rapporter aux Sioux qu'aux Bédouins.
Parce que oui, si le film commence à Wounded Knee et au Wild West Show de Buffalo Bill, il se termine au fin fond de l'Arabie Saoudite (d'où Omar Sharif, cqfd).
C'est beau vous dis-je, les Amérindiens sont de gentils sauvages vivant à l'air libre, ou ce sont les chevaux, enfin bref, c'est pareil!
Alors par contre... Un problème. Viggo Mortensen n'est pas un mauvais acteur, loin de là. Mais qu'on tente de lui faire jouer le fils d'une femme sioux... Avec ses cheveux blonds et ses yeux bleus, y a des limites à ne pas dépasser! On compensera ce détail iconographique par les scènes de découpage de bras, de fusillade dans les sérails, de galop à cru dans le désert... Je vous ai dit que c'était beau et gentil comme film ?
Lo, va aller faire un vrai travail de recherche maintenant
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