Depuis mon arrivée sur le sol américain, j'ai eu la chance de pouvoir goûter à tout un tas de trucs, allant de la part de pizza hawaïenne à 10h du matin, agrémentée de piment et de parmesan, au sushi du supermarché du coin, en passant par les tartines de fromage frais.
Mais j'ai aussi pu entrevoir, et parfois tester, la cuisine locale.
Un tour au supermarché, pour acheter une salade et une boîte de thon, m'a au final pris une heure, tant il y avait à voir dans ses rayons.
Ca commence par les gâteaux roses, bleus ou verts, parsemés de petites fleurs en pâte d'amande et autres billes en sucre. Le genre de gâteaux qui ne semble même pas réel. Puis on enchaîne avec le rayon consacré à Pâques, véritable institution outre Atlantique (on croise même des hommes-lapins avec qui prendre des photos, dans les halls des centres commerciaux, à l'instar du Père Noël d'Auchan au mois de décembre). Là, au milieu des lapins en chocolat et autres oeufs fourrés au praliné, le drame. Des oeufs teints. Copie conforme des oeufs roumains conservés dans les réserves du MuCEM...
Remise au bout d'un certain temps de mes émotions, j'ai repris mon exploration des lieux, pour me rendre compte de plusieurs petites choses :
- le boeuf coûte l'équivalent de deux tranches de jambon leader price. Je compte bien me faire une orgie de steak aux hormones d'ici mon retour.
- le lait n'existe pas. Tout doit moins pas le lait que l'on peut garder au frigo, et celui que l'on trouve au rayon frais, même entier, à un sérieux goût de flotte.
- les yaourts sont donc également quasi inexistants. Mais par contre, on achète de la glace par bac de 2kg pour trois fois rien, et on mange de Jell-y en dessert.
- on trouve du peanut butter à à peu près tout et n'importe quoi, comme pour les oréo, ou la vinaigrette, ou les chips, ou le thon en boîte, ou les sauces tomates, ou les boîtes de soupe ou...
- on trouve de tout... en version light. Et encore, light regroupe quatre à cinq nuances différentes, du "reduce fat" à "sans plus rien du tout dedans qu'on se demande même ce qu'il peut bien rester". Même pour le peanut butter et les oréo. Si c'est pas un drame ça...
Mais j'ai aussi pu entrevoir, et parfois tester, la cuisine locale.
Un tour au supermarché, pour acheter une salade et une boîte de thon, m'a au final pris une heure, tant il y avait à voir dans ses rayons.
Ca commence par les gâteaux roses, bleus ou verts, parsemés de petites fleurs en pâte d'amande et autres billes en sucre. Le genre de gâteaux qui ne semble même pas réel. Puis on enchaîne avec le rayon consacré à Pâques, véritable institution outre Atlantique (on croise même des hommes-lapins avec qui prendre des photos, dans les halls des centres commerciaux, à l'instar du Père Noël d'Auchan au mois de décembre). Là, au milieu des lapins en chocolat et autres oeufs fourrés au praliné, le drame. Des oeufs teints. Copie conforme des oeufs roumains conservés dans les réserves du MuCEM...
Remise au bout d'un certain temps de mes émotions, j'ai repris mon exploration des lieux, pour me rendre compte de plusieurs petites choses :
- le boeuf coûte l'équivalent de deux tranches de jambon leader price. Je compte bien me faire une orgie de steak aux hormones d'ici mon retour.
- le lait n'existe pas. Tout doit moins pas le lait que l'on peut garder au frigo, et celui que l'on trouve au rayon frais, même entier, à un sérieux goût de flotte.
- les yaourts sont donc également quasi inexistants. Mais par contre, on achète de la glace par bac de 2kg pour trois fois rien, et on mange de Jell-y en dessert.
- on trouve du peanut butter à à peu près tout et n'importe quoi, comme pour les oréo, ou la vinaigrette, ou les chips, ou le thon en boîte, ou les sauces tomates, ou les boîtes de soupe ou...
- on trouve de tout... en version light. Et encore, light regroupe quatre à cinq nuances différentes, du "reduce fat" à "sans plus rien du tout dedans qu'on se demande même ce qu'il peut bien rester". Même pour le peanut butter et les oréo. Si c'est pas un drame ça...
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