Alors que je m'étais convaincue de profiter de ce séjour à crapahuter dans les déserts et autres montagnes pour manger léger, j'ai craqué... Et j'ai décidé de passer une vraie journée, à manger des trucs plus gras les uns que les autres sur ce bord de plage californien.
Tout a commencé par le petit déjeuner : des toasts grillés (rien de bien callorique là dedans), allégrement recouvert de peanut butter (les voila, les calories), présenté en pot d'un kilo. Et là, je me suis rendue compte qu'il ne s'agissait pas du même pot qu'hier... à croire que tous les Français de l'auberge en raffolent.
Puis au cours de ma visite des boutiques de l'autre trottoir de State Street (il y a tellement de boutiques que je n'avais pu en faire que la moitié), je suis tombée sur cette mignonne petite chose qu'est Le Paradis des cup-cakes. Comme vous l'explique la gentille vendeuse de cet endroit directement sorti de l'imagination de Roal Dhal, vous pouvez acheter pour 4$ (bon, ça, ça n'est pas donné pour un gâteau) l'un des douze cup-cakes proposés (cookies, peanut-butter, oreo, vanilla...), ou le composer vous même, avec de la crème, de la glace, un glaçage, des trucs par dessus... Pas téméraire pour deux sous, je me suis contentée d'un peanut-butter (oui, on ne se refait pas, j'ai décidé que je gouterai toutes les choses au beurre de cacahouète qui me passeront sous le nez, y compris le smoothie peanut-banana).
Et hop, 3000 calories d'un coup.
S'en est suivie une envie de frites. Certes, j'aurais pu me rendre dans n'importe quel dinner du coin (sauf qu'ici, il s'agit principalement de trucs à touristes), plutôt que d'aller au McDo. Ceci étant, on prend une fois de plus conscience qu'aux USA, c'est quand même pas pareil : les menus cheeseburger sont moins chers qu'en France, et contiennent deux sandwichs, sans parler du Coca à volonté. De quoi vous remplir l'estomac de façon certaine...
Et enfin, le café, à seulement 5 calories comme l'annonce les pancartes dans les cinq Starbucks de la ville. Sauf qu'aux Etats-Unis, un demi-litre de café filtre, ça coute moins chez qu'un café au comptoir...
Tout a commencé par le petit déjeuner : des toasts grillés (rien de bien callorique là dedans), allégrement recouvert de peanut butter (les voila, les calories), présenté en pot d'un kilo. Et là, je me suis rendue compte qu'il ne s'agissait pas du même pot qu'hier... à croire que tous les Français de l'auberge en raffolent.
Puis au cours de ma visite des boutiques de l'autre trottoir de State Street (il y a tellement de boutiques que je n'avais pu en faire que la moitié), je suis tombée sur cette mignonne petite chose qu'est Le Paradis des cup-cakes. Comme vous l'explique la gentille vendeuse de cet endroit directement sorti de l'imagination de Roal Dhal, vous pouvez acheter pour 4$ (bon, ça, ça n'est pas donné pour un gâteau) l'un des douze cup-cakes proposés (cookies, peanut-butter, oreo, vanilla...), ou le composer vous même, avec de la crème, de la glace, un glaçage, des trucs par dessus... Pas téméraire pour deux sous, je me suis contentée d'un peanut-butter (oui, on ne se refait pas, j'ai décidé que je gouterai toutes les choses au beurre de cacahouète qui me passeront sous le nez, y compris le smoothie peanut-banana).
Et hop, 3000 calories d'un coup.
S'en est suivie une envie de frites. Certes, j'aurais pu me rendre dans n'importe quel dinner du coin (sauf qu'ici, il s'agit principalement de trucs à touristes), plutôt que d'aller au McDo. Ceci étant, on prend une fois de plus conscience qu'aux USA, c'est quand même pas pareil : les menus cheeseburger sont moins chers qu'en France, et contiennent deux sandwichs, sans parler du Coca à volonté. De quoi vous remplir l'estomac de façon certaine...
Et enfin, le café, à seulement 5 calories comme l'annonce les pancartes dans les cinq Starbucks de la ville. Sauf qu'aux Etats-Unis, un demi-litre de café filtre, ça coute moins chez qu'un café au comptoir...
Lo, on diet
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