Cette dernière saison de Torchwood était attendue, surtout depuis l'annonce d'un partenariat entre la BBC et la télévision américaine : ou quand les Gallois ont mis les pieds dans l'univers de la sf, version cours des grands.
Parce que certes, Torchwood, comme Doctor Who, sont de bonnes séries (quoi que les derniers épisodes de cette dernière laissent à désirer... mais bon...), mais ça n'est rien à côté de bijoux tel Battlestar Galactica.
Mais dans Miracle Day, pas d'extraterrestre, pas de vaisseaux spatiaux ou de voyages dans le temps, non, pour la saison 4, on reste dans la brèche ouverte par Children of Earth : l'ennemi est invisible, pire, il est à l'intérieur de nous. Dans Miracle Day, comme le dit le prégénérique, Personne ne Meurt.
En revanche, l'influence américaine est bien là. Agents de la CIA infiltrés dans Torchwood, espionnage et peine de mort, lutte du bien contre le mal à l'américaine... Alias au pays des immortels. D'ailleurs, l'opposition est constante entre Gwen, son accent à couper au couteau et son caractère de merde, et Rex Matherson, agent de la CIA embarqué malgré lui dans l'aventure.
Parce qu'il en fallait d'autre, des personnages. Après la mort des deux tiers de l'équipe, il était temps d'embaucher de nouveaux agents. Ainsi, Rhys prend encore un peu plus d'importance, devenant le coéquipier de Gwen. Du côté américain, l'équipe de la CIA, mais également Oswald Danes, condamné à mort pour le meurtre d'une enfant, rejoignent, plus ou moins de plein grès, l'équipe de Jack.
Si la première moitié de la saison est clairement d'influence us, la fin engage un virage, certes léger, vers les origines de la série, avec utilisation de gadgets extraterrestres et de multiples références aux anciens personnages de la série, et au Docteur.
Mais c'est bien le dernier épisode que l'on retiendra, où tout se joue dans le dernier quart d'heure, voir les dernières secondes, et ouvre la porte à de très nombreuses possibilités.
Parce que certes, Torchwood, comme Doctor Who, sont de bonnes séries (quoi que les derniers épisodes de cette dernière laissent à désirer... mais bon...), mais ça n'est rien à côté de bijoux tel Battlestar Galactica.
Mais dans Miracle Day, pas d'extraterrestre, pas de vaisseaux spatiaux ou de voyages dans le temps, non, pour la saison 4, on reste dans la brèche ouverte par Children of Earth : l'ennemi est invisible, pire, il est à l'intérieur de nous. Dans Miracle Day, comme le dit le prégénérique, Personne ne Meurt.
En revanche, l'influence américaine est bien là. Agents de la CIA infiltrés dans Torchwood, espionnage et peine de mort, lutte du bien contre le mal à l'américaine... Alias au pays des immortels. D'ailleurs, l'opposition est constante entre Gwen, son accent à couper au couteau et son caractère de merde, et Rex Matherson, agent de la CIA embarqué malgré lui dans l'aventure.
Parce qu'il en fallait d'autre, des personnages. Après la mort des deux tiers de l'équipe, il était temps d'embaucher de nouveaux agents. Ainsi, Rhys prend encore un peu plus d'importance, devenant le coéquipier de Gwen. Du côté américain, l'équipe de la CIA, mais également Oswald Danes, condamné à mort pour le meurtre d'une enfant, rejoignent, plus ou moins de plein grès, l'équipe de Jack.
Si la première moitié de la saison est clairement d'influence us, la fin engage un virage, certes léger, vers les origines de la série, avec utilisation de gadgets extraterrestres et de multiples références aux anciens personnages de la série, et au Docteur.
Mais c'est bien le dernier épisode que l'on retiendra, où tout se joue dans le dernier quart d'heure, voir les dernières secondes, et ouvre la porte à de très nombreuses possibilités.
Lo, blessed
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