L'expo à Electra ne m'ayant pris que peu de temps, et surtout n'ayant pas foutu un pied dans un musée qui ne soit en cours de déménagement, ni au quai Branly depuis... depuis, j'ai décidé d'accompagner Mathilde au Grand Palais afin de voir l'exposition Une image peut en cacher une autre, dont le titre veut bien dire ce que ça veut dire.
Au total, 22 espaces présentant tableaux, films, sculptures et photographies comportant des illusions d'optique. Oui, enfin plutôt capilotractée l'illusion... Car si certaines choses sont facilement admissibles (comme les sculptures qui ne prennent sens que vues sous un certain angle, les anamorphoses ou les Prisons de Piranèse), ou d'autres justes passables, plusieurs tableaux n'ont carrément rien à faire là. Parce que bon, voir un vague profil d'un vague personnage assexué dans un rocher peint sur un tableau, avec un peu de volonté, tout le monde y arrive face à n'importe quelle toile !
Mais il fau bien avouer que dès la première salle, et les images d'Epinal, tout le onde, nous y compris, se prend au jeu de cherche le détail caché, l'angle de vue, le truc qui tue, dans chaque oeuvre. Et en terme d'oeuvres, nous étions servies. Une grande quantité de pièces était présentée, dont des Picasso, des Daumier, Dürer, Bellemer et autres Ernst, et surtout de nombreux Dali. Et rien que pour eux, ça valait le coup de faire la queue au portique de sécurité derrière un groupe du troisième âge n'ayant pas compris que si le tourniquet n'avançait pas, c'est parce qu'il fallait le pousser...
Parlons de la muséo maintenant! ... Heu ... En fait, comme j'ai joué à Où est Charlie pendant 1h30, j'y ai pas vraiment fait gaffe en fait... Par contre, j'ai bien vu qu'il y avait des panneaux avec des reproductions de tableaux et des indications des trucs à trouver, donc pas trouvables. Enfin celà-dit, même quand on vous entoure la chose à voir, qu'on vous met le nez dessus, vous ne la voyez pas forcement...
Bon, il y avait aussi des panneaux, mais je ne les ai pas forcément lus... Oui, ben j'ai vraiment joué le jeu moi! Puis c'était drôle de trouver la chouette cachée dans les tableaux!
Au total, 22 espaces présentant tableaux, films, sculptures et photographies comportant des illusions d'optique. Oui, enfin plutôt capilotractée l'illusion... Car si certaines choses sont facilement admissibles (comme les sculptures qui ne prennent sens que vues sous un certain angle, les anamorphoses ou les Prisons de Piranèse), ou d'autres justes passables, plusieurs tableaux n'ont carrément rien à faire là. Parce que bon, voir un vague profil d'un vague personnage assexué dans un rocher peint sur un tableau, avec un peu de volonté, tout le monde y arrive face à n'importe quelle toile !
Mais il fau bien avouer que dès la première salle, et les images d'Epinal, tout le onde, nous y compris, se prend au jeu de cherche le détail caché, l'angle de vue, le truc qui tue, dans chaque oeuvre. Et en terme d'oeuvres, nous étions servies. Une grande quantité de pièces était présentée, dont des Picasso, des Daumier, Dürer, Bellemer et autres Ernst, et surtout de nombreux Dali. Et rien que pour eux, ça valait le coup de faire la queue au portique de sécurité derrière un groupe du troisième âge n'ayant pas compris que si le tourniquet n'avançait pas, c'est parce qu'il fallait le pousser...
Parlons de la muséo maintenant! ... Heu ... En fait, comme j'ai joué à Où est Charlie pendant 1h30, j'y ai pas vraiment fait gaffe en fait... Par contre, j'ai bien vu qu'il y avait des panneaux avec des reproductions de tableaux et des indications des trucs à trouver, donc pas trouvables. Enfin celà-dit, même quand on vous entoure la chose à voir, qu'on vous met le nez dessus, vous ne la voyez pas forcement...
Bon, il y avait aussi des panneaux, mais je ne les ai pas forcément lus... Oui, ben j'ai vraiment joué le jeu moi! Puis c'était drôle de trouver la chouette cachée dans les tableaux!
Lo, s'est bien amusée!
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