Cela va faire trois bons mois que je trépigne devant l'Opéra, ses représentations des Ballets russes miraculeusement retransmis sur France Télévision à Nouvel An, et son exposition sur les Ballets russes.
Par un autre miracle, je et Monique n'avions rien à faire en ce début d'après midi. Donc entre deux giboulés et averses de grêles, nous nous sommes rendues à Garnier. Et c'est là que ça devient drôle. L'exposition a lieu dans la bibliothèque, à en croire Pariscope. Le problème est que, la bibliothèque de l'Opéra, nous n'y avons jamais foutu un pied, et que l'Opéra est en travaux. Et que forcément, y a pas de panneaux. Pas de panneaux, pas d'infos, pas d'pierres, pas d'palais.
Par association d'idées, nous avons décidé de passer à droite de la façade, et d'entrer par la librairie. Raté. Nous sommes donc ressorties, avons fait le tour du bâtiment, croisé un chien affreux qui avait tout de la sauterelle à poils courts, sommes passées sous des échafaudages, pour enfin entrer dans l'Opéra. Après, il s'est agit de trouver la bibliothèque. Et à côté de ça, Harry Potter dans le labyrinthe, c'est de la tarte. Mais un gentil monsieur nous a sauvé : "2ème gauche". Oui, mais deuxième quoi...? Nous avons décidé que nos futures nous régleraient la question, et sommes allées chercher un billet.
Un billet vendu par une guichetière. Vendu... C'est un bien grand mot... La madame assise sur sa chaise de bureau derrière une vitre anti-effraction, avait le dos tourné, et les yeux rivés sur son écran : Facebook. Alors là, je dis BORDEL! Lorsque je travaillais aux ATP, le ministère de la culture avait bloqué tout accès à Facebook, nous empêchant de modifier le profil du musée. Là, les guichetiers de l'Opéra on le droit de poker leurs amis au lieu de vendre des billets d'entrée. Y a un truc qui va pas (et demain, Facebook sera bloqué à l'Opéra!)
Une fois cette formalité de 5€ effectuée, nous sommes parties à la recherche de la "2e gauche", et des panneaux. Nous avons monté un premier escalier, un deuxième, et aperçu une petite affiche A3 entre deux montants de porte. On n'aurait jamais pensé que ça serait si facile!
L'exposition en elle même est beaucoup moins drôle...! De jolis costumes, des jolis dessins, de jolis tableaux, de jolis extraits de ballets, et une magnifique lithographie d'une aquarelle de Catlin. Moi, dès qu'on me présente un truc de sauvage de toute façons...!
Sauf que nous n'avons pas compris le propos. Certes, c'était une expo présentant des trucs en rapport avec Diaghilev et compagnie, donc le propos, il est là. Mais il y avait des textes un peu beaucoup compliqué, dans un couleur et sur un fond rendant les écritures complètement floues... Donc on a préféré ne pas les lire. Et puis de la danse, y a pas besoin de lire.
L'autre problème, c'est que c'est court. Trois petites salles, et une rotonde au nom de Louis Vuitton. Donc pour rentabiliser nos 5€ nous avons décidé d'aller faire un tour dans l'Opéra, et de jouer les touristes sur la terrasse. Et non, nous n'avons pas pris de photo... Il nous manquait l'ours en peluche.
Lo, petit rat à l'Opéra
Par un autre miracle, je et Monique n'avions rien à faire en ce début d'après midi. Donc entre deux giboulés et averses de grêles, nous nous sommes rendues à Garnier. Et c'est là que ça devient drôle. L'exposition a lieu dans la bibliothèque, à en croire Pariscope. Le problème est que, la bibliothèque de l'Opéra, nous n'y avons jamais foutu un pied, et que l'Opéra est en travaux. Et que forcément, y a pas de panneaux. Pas de panneaux, pas d'infos, pas d'pierres, pas d'palais.
Par association d'idées, nous avons décidé de passer à droite de la façade, et d'entrer par la librairie. Raté. Nous sommes donc ressorties, avons fait le tour du bâtiment, croisé un chien affreux qui avait tout de la sauterelle à poils courts, sommes passées sous des échafaudages, pour enfin entrer dans l'Opéra. Après, il s'est agit de trouver la bibliothèque. Et à côté de ça, Harry Potter dans le labyrinthe, c'est de la tarte. Mais un gentil monsieur nous a sauvé : "2ème gauche". Oui, mais deuxième quoi...? Nous avons décidé que nos futures nous régleraient la question, et sommes allées chercher un billet.
Un billet vendu par une guichetière. Vendu... C'est un bien grand mot... La madame assise sur sa chaise de bureau derrière une vitre anti-effraction, avait le dos tourné, et les yeux rivés sur son écran : Facebook. Alors là, je dis BORDEL! Lorsque je travaillais aux ATP, le ministère de la culture avait bloqué tout accès à Facebook, nous empêchant de modifier le profil du musée. Là, les guichetiers de l'Opéra on le droit de poker leurs amis au lieu de vendre des billets d'entrée. Y a un truc qui va pas (et demain, Facebook sera bloqué à l'Opéra!)
Une fois cette formalité de 5€ effectuée, nous sommes parties à la recherche de la "2e gauche", et des panneaux. Nous avons monté un premier escalier, un deuxième, et aperçu une petite affiche A3 entre deux montants de porte. On n'aurait jamais pensé que ça serait si facile!
L'exposition en elle même est beaucoup moins drôle...! De jolis costumes, des jolis dessins, de jolis tableaux, de jolis extraits de ballets, et une magnifique lithographie d'une aquarelle de Catlin. Moi, dès qu'on me présente un truc de sauvage de toute façons...!
Sauf que nous n'avons pas compris le propos. Certes, c'était une expo présentant des trucs en rapport avec Diaghilev et compagnie, donc le propos, il est là. Mais il y avait des textes un peu beaucoup compliqué, dans un couleur et sur un fond rendant les écritures complètement floues... Donc on a préféré ne pas les lire. Et puis de la danse, y a pas besoin de lire.
L'autre problème, c'est que c'est court. Trois petites salles, et une rotonde au nom de Louis Vuitton. Donc pour rentabiliser nos 5€ nous avons décidé d'aller faire un tour dans l'Opéra, et de jouer les touristes sur la terrasse. Et non, nous n'avons pas pris de photo... Il nous manquait l'ours en peluche.
Lo, petit rat à l'Opéra
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