BSG. Ou comment réconcilier les étudiants parisiens avec ces trois lettres. BSG pour Battlestar Galactica. Série anglo-saxone de SF, créée en 2004, la saison 1 fait suite au téléfilm. Durant treize épisodes, on les suit les quelques 45 000 survivants des 12 colonies de Kobol, entre leurs tentatives de fuite face au Cylon et la recherche d'une planète appelée Terre, seul endroit qui, selon la légende, pourrait accueillir les rescapés du génocide.
Comme toute bonne série de SF, on se ire dessus à coup de missiles spacio-nucléaires, chargés sur des vaisseaux, et on fait causette aux-dits vaisseaux, vivants cela va de soi. Et nous, on apprécie tout simplement la qualité des effets spéciaux, hallucinants pour une simple série télé.
Pas mal de détails semblables à toutes les autres séries de SF, Stargate et Farscape par exemple. Mais les Cylons mis à part, droïdes en conserves pouvant également prendre forme humaine, pas d'aliens, d'extraterrestres ou de dieux quelconques.
Il n'y a également que peu de scènes d'action (pour une série basée sur l'affrontement entre deux peuples...) Au lieu de ça, pas mal d'espionnage, de trahison et de scènes de ménage. Battlestar Galactica se construit autour de cinq couples, amoureux ou non. La président Roslin et le commandant Adama; Sharon et Tyrol; Helo et Number Eight; Gaius Baltar et Number Six; Lee "Apollo" et Kara "Starbuck". On retiendra plus particulièrement ce dernier, non pas parce que Jamie Bamber et l'acteur le mieux foutu de la série, et Starbuck le personnage le fun, mais parce qu'il n'y a pas un épisode sans qu'ils ne se crient ou tapent dessus. Cependant, James Callis, interprète du Docteur Gaius Baltar, est sûrement l'acteur le plus performant de cette première saison.
Tout ce beau monde se retrouve donc sur le Galactica, vaisseau amiral de la flotte survivante, à la recherche d'un coin pour vivre. Coin que bien entendu ils ne trouvent pas, puisqu'il faut bien leur faire faire quelque chose au cours des saisons suivantes... Que je m'apprête à dévorer très rapidement!
Comme toute bonne série de SF, on se ire dessus à coup de missiles spacio-nucléaires, chargés sur des vaisseaux, et on fait causette aux-dits vaisseaux, vivants cela va de soi. Et nous, on apprécie tout simplement la qualité des effets spéciaux, hallucinants pour une simple série télé.
Pas mal de détails semblables à toutes les autres séries de SF, Stargate et Farscape par exemple. Mais les Cylons mis à part, droïdes en conserves pouvant également prendre forme humaine, pas d'aliens, d'extraterrestres ou de dieux quelconques.
Il n'y a également que peu de scènes d'action (pour une série basée sur l'affrontement entre deux peuples...) Au lieu de ça, pas mal d'espionnage, de trahison et de scènes de ménage. Battlestar Galactica se construit autour de cinq couples, amoureux ou non. La président Roslin et le commandant Adama; Sharon et Tyrol; Helo et Number Eight; Gaius Baltar et Number Six; Lee "Apollo" et Kara "Starbuck". On retiendra plus particulièrement ce dernier, non pas parce que Jamie Bamber et l'acteur le mieux foutu de la série, et Starbuck le personnage le fun, mais parce qu'il n'y a pas un épisode sans qu'ils ne se crient ou tapent dessus. Cependant, James Callis, interprète du Docteur Gaius Baltar, est sûrement l'acteur le plus performant de cette première saison.
Tout ce beau monde se retrouve donc sur le Galactica, vaisseau amiral de la flotte survivante, à la recherche d'un coin pour vivre. Coin que bien entendu ils ne trouvent pas, puisqu'il faut bien leur faire faire quelque chose au cours des saisons suivantes... Que je m'apprête à dévorer très rapidement!
Lo, BSG
illu
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