Les Anglais sont forts. En plus de faire de bonnes séries, ils ont développé le concept des épisodes hors-saisons. A tel point qu'on peut avoir cinq épisodes entre deux saisons. Épisodes de Pâques, de la Toussaint, de Noël, les britanniques revisitent à leur manière le cycle ATPien des fêtes calendaires.
C'est donc comme ça que fut diffusé il y a quelques semaines Waters of Mars, épisode spécial automne de Doctor Who, collection 2009.
Waters of Mars dure une heure, met en scène David Tennant dans ses dernières apparitions, et prépare gentiment mais surement à la fin de l'acteur dans l'épisode de Noël. Et se passe sur Mars, vous l'aurez compris. Là, pas d'aliens, juste une petite mutation de l'espèce humaine à faire froid dans le dos, qui n'est pas sans rappeler certains épisodes d'X-Files, où, coincés sur une plate-forme scientifique au beau milieu de l'Antarctique, Mulder et Scully devaient faire face à des changements de personnalité... Mais je m'éloigne!
Car les monstres, les soucoupes volantes, se faire des frayeurs au coin de la cheminée, ça n'est pas le propos de l'épisode, et de loin. Dans Water of Mars, le Doctor est confronté au même dilemme que lors des derniers jours de Pompei : assister à une catastrophe historique sur laquelle il ne peut en aucun cas intervenir. L'un des grands fardeaux des Time Lords.
Donc dans Waters of Mars, on sursaute, on trépigne, et on pleure... Et on se dit que non, définitivement non, on ne veut pas que ça se termine. Surtout pas.
Lo, attends Noël
C'est donc comme ça que fut diffusé il y a quelques semaines Waters of Mars, épisode spécial automne de Doctor Who, collection 2009.
Waters of Mars dure une heure, met en scène David Tennant dans ses dernières apparitions, et prépare gentiment mais surement à la fin de l'acteur dans l'épisode de Noël. Et se passe sur Mars, vous l'aurez compris. Là, pas d'aliens, juste une petite mutation de l'espèce humaine à faire froid dans le dos, qui n'est pas sans rappeler certains épisodes d'X-Files, où, coincés sur une plate-forme scientifique au beau milieu de l'Antarctique, Mulder et Scully devaient faire face à des changements de personnalité... Mais je m'éloigne!
Car les monstres, les soucoupes volantes, se faire des frayeurs au coin de la cheminée, ça n'est pas le propos de l'épisode, et de loin. Dans Water of Mars, le Doctor est confronté au même dilemme que lors des derniers jours de Pompei : assister à une catastrophe historique sur laquelle il ne peut en aucun cas intervenir. L'un des grands fardeaux des Time Lords.
Donc dans Waters of Mars, on sursaute, on trépigne, et on pleure... Et on se dit que non, définitivement non, on ne veut pas que ça se termine. Surtout pas.
Lo, attends Noël
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