La première chute de neige de la saison à Paris a suscité un grand nombre de statuts sur Facebook. A tel point que l'activité du jour au bureau fut de les compter. Pas loin de 7% des contacts faisaient référence à ce phénomène météorologique.
C'est à leur lecture qu'on se rend compte que la neige, on l'aime ou pas. Dans les pas, il y a ceux qui n'ont pas pu aller en cours, ceux qui sont restés coincés sur le périph (il faut dire que 5 centimètres de neige, on ne voit pas ça tous les jours), ceux qui ont du évacuer le métro (à moins que ça ne soit pour cause de grève...) ou tout simplement ceux qui se sont cassés la figure au beau milieu du trottoir.
Il y a ceux que la neige rend lyrique, romantique, voire poétique. On ne compte plus les extraits de chansons en rapport avec la neige, ni les petites phrases vantant la pureté de la blancheur immaculée des Tuileries sous la neige. Mais ça permet d'apprendre de nouveaux poèmes.
Et enfin, il y a ceux qui ont 5 ans dès qu'un flocon de neige apparait. Et ça, c'est moi. C'est moi et Cam et Caro qui, à 2h du matin, sortent au beau milieu de l'avenue d'Italie, vêtues des premiers manteaux trouvés (donc bien trop grands), et sautent en dessous des réverbères, juste sous les premiers flocons de neige. Flocons de neige qui fondent avant de toucher le sol, je tiens à le préciser... Alors imaginez nos tête ce matin...
C'est à leur lecture qu'on se rend compte que la neige, on l'aime ou pas. Dans les pas, il y a ceux qui n'ont pas pu aller en cours, ceux qui sont restés coincés sur le périph (il faut dire que 5 centimètres de neige, on ne voit pas ça tous les jours), ceux qui ont du évacuer le métro (à moins que ça ne soit pour cause de grève...) ou tout simplement ceux qui se sont cassés la figure au beau milieu du trottoir.
Il y a ceux que la neige rend lyrique, romantique, voire poétique. On ne compte plus les extraits de chansons en rapport avec la neige, ni les petites phrases vantant la pureté de la blancheur immaculée des Tuileries sous la neige. Mais ça permet d'apprendre de nouveaux poèmes.
Et enfin, il y a ceux qui ont 5 ans dès qu'un flocon de neige apparait. Et ça, c'est moi. C'est moi et Cam et Caro qui, à 2h du matin, sortent au beau milieu de l'avenue d'Italie, vêtues des premiers manteaux trouvés (donc bien trop grands), et sautent en dessous des réverbères, juste sous les premiers flocons de neige. Flocons de neige qui fondent avant de toucher le sol, je tiens à le préciser... Alors imaginez nos tête ce matin...
Lo, bonhomme de neige
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