Le musée du quai Branly a toujours affirmé être en faveur de l'art contemporain. Admettons. C'est sensiblement le cas en ce moment avec l'exposition (oui, bon, sur le point de se terminer) Autres Maîtres de l'Inde, présentant ce que justement on ne voit jamais de l'Inde : l'art contemporain des communautés rurales. Autrement dit, tout ce que les gens font dans leurs petits coins paumés.
Et tout d'un coup, la galerie jardin prend des allures de FIAC. Une scénographie très beaubourg-braly, avec des tapis, des gradins, des vitrines dont les formes épousent celles des objets, des petites boîtes tapissées de papier peint... Et c'est plutôt réussi.
Pareil pour les objets. On a de tout, du neuf comme du très vieux (et là, malheureusement, on a un peu de mal à faire la différence), de l'argile et du métal, mais surtout de la couleur, de la couleur, de la couleur. Et du fluo s'il vous plait. Mais du joli fluo, du fluo qu'on voudrait bien mettre chez soi, entre la fenêtre et la table basse. Du fluo comme à la FIAC quoi...
Oui mais bon, on est au quai Branly, et il y a quand même un discours scientifique derrière tout ça. Sauf que dans ma grande connerie, je ne l'ai pas compris. En rentrant dans l'exposition, j'ai attrapé le livret, et je me suis dit "admire, tu liras plus tard!". Et j'ai tout loupé. Car en fait, si on veut comprendre un petit peu le sens de l'exposition, on a plutôt intérêt à la faire dans l'ordre. Alors quand j'ai vu la troisième flèche me disant que j'allais dans le sens inverse du parcours, j'ai abandonné toute idée de compréhension, et j'ai admiré.
C'est con, pour une fois c'était plutôt bien fait... La prochaine fois, on leur dira de marquer à l'entrée que le dépliant est à lire, et qu'il ne doit pas uniquement servir d'éventail en ces temps de canicule.
Dommage enfin qu'il se soit mis à pleuvoir à la sortie de l'exposition, j'aurais bien jeté un coup d'oeil aux oeuvres dans le jardin!
Lo, au musée
Et tout d'un coup, la galerie jardin prend des allures de FIAC. Une scénographie très beaubourg-braly, avec des tapis, des gradins, des vitrines dont les formes épousent celles des objets, des petites boîtes tapissées de papier peint... Et c'est plutôt réussi.
Pareil pour les objets. On a de tout, du neuf comme du très vieux (et là, malheureusement, on a un peu de mal à faire la différence), de l'argile et du métal, mais surtout de la couleur, de la couleur, de la couleur. Et du fluo s'il vous plait. Mais du joli fluo, du fluo qu'on voudrait bien mettre chez soi, entre la fenêtre et la table basse. Du fluo comme à la FIAC quoi...
Oui mais bon, on est au quai Branly, et il y a quand même un discours scientifique derrière tout ça. Sauf que dans ma grande connerie, je ne l'ai pas compris. En rentrant dans l'exposition, j'ai attrapé le livret, et je me suis dit "admire, tu liras plus tard!". Et j'ai tout loupé. Car en fait, si on veut comprendre un petit peu le sens de l'exposition, on a plutôt intérêt à la faire dans l'ordre. Alors quand j'ai vu la troisième flèche me disant que j'allais dans le sens inverse du parcours, j'ai abandonné toute idée de compréhension, et j'ai admiré.
C'est con, pour une fois c'était plutôt bien fait... La prochaine fois, on leur dira de marquer à l'entrée que le dépliant est à lire, et qu'il ne doit pas uniquement servir d'éventail en ces temps de canicule.
Dommage enfin qu'il se soit mis à pleuvoir à la sortie de l'exposition, j'aurais bien jeté un coup d'oeil aux oeuvres dans le jardin!
Lo, au musée
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