Tout a commencé par un lendemain de cuite. Ce genre de lendemain où, fille ou pas, dimanche ou pas, vous vous foutez royalement d'être maquillée, et trainez au lit jusque 16h. Certes la gueule de bois y est pour beaucoup, mais c'est une autre histoire. Vous êtes donc au fond de votre lit, attendez que la population cesse de s'agiter sous votre fenêtre (c'est dimanche, c'est jour de marché, et ouais), et surtout, attendez que votre mal de tête passe pour aller avaler des litres de caféine avec vos compagnons d'(in)fortune. Et là vient la question : oui mais là, je fais quoi ?
Se lever ? Il est bien trop tôt pour ça. Se rendormir ? Sérieusement, ça ne serait pas raisonnable du tout. Regarder une série ? Oui, mais alors Lost, c'est un peu trop compliqué pour l'état neuronal dans lequel je me trouvais...
Lost in Austen. Mini série britannique, drôle, basée sur Pride and Prejudice. De l'amour, de l'amour et encore de l'amour, rien de mieux pour se remettre d'une bouteille de rhum. J'avais prévu de regarder un épisode, juste comme ça, entre deux siestes. J'ai dévoré la série. Parce que voila, les aventures d'Amanda, jeune londonienne assez speed, coincée dans Orgueil et Préjugés, pendant que Elisabeth Bennet joue les babysitter dans le Londres de 2009, ça vaut le détour, et même plus...
Parce que Lost in Austen, c'est quand même bien une série de fille. Ca s'amourache, ça manigance, ça chouine, ça porte de jolies robes, ça vit dans des châteaux, et ça tombe immanquablement amoureuse de Darcy. Ben ouais, sinon c'est pas drôle. Donc là, gueule de bois ou pas, tout ce qui importe, c'est Amanda demandant à Darcy de plonger dans le lac, habillé, et d'en ressortir, la chemise blanche collée au torse. Le mal de crane part subitement.
Mais surtout, en bonne série de fille, elle vous donne envie de vous repasser encore et encore les passages les plus guimauves. Et du coup, je connais les dialogues des quinze dernières minutes de la série par coeur.
Oui, quand je veux je peux penser à autre chose qu'à des coiffes en dentelle.
Lo, fille
Se lever ? Il est bien trop tôt pour ça. Se rendormir ? Sérieusement, ça ne serait pas raisonnable du tout. Regarder une série ? Oui, mais alors Lost, c'est un peu trop compliqué pour l'état neuronal dans lequel je me trouvais...
Lost in Austen. Mini série britannique, drôle, basée sur Pride and Prejudice. De l'amour, de l'amour et encore de l'amour, rien de mieux pour se remettre d'une bouteille de rhum. J'avais prévu de regarder un épisode, juste comme ça, entre deux siestes. J'ai dévoré la série. Parce que voila, les aventures d'Amanda, jeune londonienne assez speed, coincée dans Orgueil et Préjugés, pendant que Elisabeth Bennet joue les babysitter dans le Londres de 2009, ça vaut le détour, et même plus...
Parce que Lost in Austen, c'est quand même bien une série de fille. Ca s'amourache, ça manigance, ça chouine, ça porte de jolies robes, ça vit dans des châteaux, et ça tombe immanquablement amoureuse de Darcy. Ben ouais, sinon c'est pas drôle. Donc là, gueule de bois ou pas, tout ce qui importe, c'est Amanda demandant à Darcy de plonger dans le lac, habillé, et d'en ressortir, la chemise blanche collée au torse. Le mal de crane part subitement.
Mais surtout, en bonne série de fille, elle vous donne envie de vous repasser encore et encore les passages les plus guimauves. Et du coup, je connais les dialogues des quinze dernières minutes de la série par coeur.
Oui, quand je veux je peux penser à autre chose qu'à des coiffes en dentelle.
Lo, fille
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