A 15h, j'ai quitté les 28° du musée, pour les 35° de l'extérieur, pour les 30° du métro, pour aller voir Chine, Célébration de la Terre, exposition à l'espace de la Fondation EDF.
Sur trois niveau, la Fondation présente une dizaine d'aspects de la civilisation chinoise, grâce à des pièces du musée Guimet, du musée d'Art et d'Histoire de Saint Denis, du musée Pincé d'Angers. Mais ce sont les objets de la collection privée de François Dautresme qui sont ici mis à l'honneur. Oui enfin disons le clairement, l'exposition, et surtout les indications, sites internet et autres, ne semble présenter QUE la collection de Dautresme.
L'espace d'exposition s'étend sur trois niveaux. Et à chaque fois, la scénographie prend le pas sur les pièces présentées.
Au rez-de-chaussée, tout d'abord, une forêt de bambous accueille les visiteurs. Au centre sont suspendus des nasses, des paniers, des vanneries, bref, tout un tas de trucs faits avec de la paille. Là, on y apprend la diversité des utilisations d'un panier : à poissons, à crevettes, à poule, à pigeons, à cochon. Mais on reste surtout ébahis devant le cache-poulet, couvercle géant servant... ben à cacher un poulet.
Il y a aussi des panneaux explicatifs, assez bien faits, lisibles. En temps normal, j'en aurais peut-être lus la moitié. Sauf que là, la climatisation ne fonctionnait pas. J'ai donc lu quatre lignes. Mais elles étaient bien, ces quatre lignes!
Au sous-sol, il fait plus frais. Bon point. Au sous-sol, il y a aussi quatre petites boîtes. La soie, la médecine, et... la vannerie. Et bien dans cette petite boîte, on se rend compte que les chapeaux en paille tressée fabriqués en Chine au XVIIIe sont les mêmes que ceux fabriqués en Auvergne et conservés au MuCEM... Même forme, même technique, mêmes décors. Oui, j'avais bossé toute la journée sur des coiffes en paille.
Au premier étage, la céramique occupe une grande partie de l'espace. Et une fois de plus, la présentation des objets est plus intéressante que les pièces : par un jeu de miroirs, l'espace est agrandi et permet une (pseudo-)reconstitution d'atelier de potier. De là à la forge des ATP, il n'y a qu'un pas!
Il y a aussi un diaporama, et un espace consacré à l'architecture.
Sauf qu'il fait toujours très chaud... et que le petit parc au pied de l'espace est très sympathique.
Lo, en chapeau de paille
Sur trois niveau, la Fondation présente une dizaine d'aspects de la civilisation chinoise, grâce à des pièces du musée Guimet, du musée d'Art et d'Histoire de Saint Denis, du musée Pincé d'Angers. Mais ce sont les objets de la collection privée de François Dautresme qui sont ici mis à l'honneur. Oui enfin disons le clairement, l'exposition, et surtout les indications, sites internet et autres, ne semble présenter QUE la collection de Dautresme.
L'espace d'exposition s'étend sur trois niveaux. Et à chaque fois, la scénographie prend le pas sur les pièces présentées.
Au rez-de-chaussée, tout d'abord, une forêt de bambous accueille les visiteurs. Au centre sont suspendus des nasses, des paniers, des vanneries, bref, tout un tas de trucs faits avec de la paille. Là, on y apprend la diversité des utilisations d'un panier : à poissons, à crevettes, à poule, à pigeons, à cochon. Mais on reste surtout ébahis devant le cache-poulet, couvercle géant servant... ben à cacher un poulet.
Il y a aussi des panneaux explicatifs, assez bien faits, lisibles. En temps normal, j'en aurais peut-être lus la moitié. Sauf que là, la climatisation ne fonctionnait pas. J'ai donc lu quatre lignes. Mais elles étaient bien, ces quatre lignes!
Au sous-sol, il fait plus frais. Bon point. Au sous-sol, il y a aussi quatre petites boîtes. La soie, la médecine, et... la vannerie. Et bien dans cette petite boîte, on se rend compte que les chapeaux en paille tressée fabriqués en Chine au XVIIIe sont les mêmes que ceux fabriqués en Auvergne et conservés au MuCEM... Même forme, même technique, mêmes décors. Oui, j'avais bossé toute la journée sur des coiffes en paille.
Au premier étage, la céramique occupe une grande partie de l'espace. Et une fois de plus, la présentation des objets est plus intéressante que les pièces : par un jeu de miroirs, l'espace est agrandi et permet une (pseudo-)reconstitution d'atelier de potier. De là à la forge des ATP, il n'y a qu'un pas!
Il y a aussi un diaporama, et un espace consacré à l'architecture.
Sauf qu'il fait toujours très chaud... et que le petit parc au pied de l'espace est très sympathique.
Lo, en chapeau de paille
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