Dollhouse, c’est quoi ?
La série raconte les aventures de Echo (Elisa Dushku), agent active de la société de service Dollhouse. Afin de répondre le mieux possible aux attentes de leurs clients, la Dollhouse « programme » ses agents, en leur implantant des personnalités spécifiques à chaque mission, avant de les effacer et de les coucher gentiment. Sauf que Echo commence à opposer une certaine résistance à ce traitement…
Vu comme ça, le pitch peut paraître simple : Echo, qui change de costume tous les jours, à chaque épisode donc, tout en tentant de retrouver qui elle est/était/fut/sera. Sauf que c’est plus complexe… Beaucoup plus !
Le premier épisode, un parfait pilote qui ne colle pas forcément très bien à la suite de la saison, n’est compréhensible qu’au bout de 20 bonnes minutes. Mais une fois qu’on a compris qui est Echo, qui sont les vingt personnages qui gravitent autour, qui ont leur propre histoire, qui ont tout un tas de relations qui au final se rapportent toutes à un seul et même point… Ca devient très intéressant, et assez accrocheur !
Parce que Dollhouse n’est pas une histoire linéaire, mais prend en compte la vie de tous les personnages, ce qui rend la série beaucoup plus fournie !
La seule saison de Dollhouse devant être la seule et unique, Whedon a décidé de réaliser un dernier épisode spécial, pouvant être une fin possible (l’avant dernier épisode pouvant quant à lui très nettement introduire une éventuelle saison 2). Et rien que pour cet épisode, la saison vaut le coup d’être vue ! (Rappelons que Whedon est connu pour ses scénarii d’épisode assez originaux – tout le monde a, sinon vu, entendu parlé des épisodes muets/musicaux/cauchemardesque)
En bref, une première saison qui vaut très largement le détour, à tel point que la série est reconduite pour une deuxième saison.
Lo, attend la saison 2
trailer
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire