C'est bien connu, avec un master d'histoire de l'art et de muséologie, on peut faire n'importe quel métier, et libraire est très certainement l'un de ceux qui s'éloigne le moins de notre domaine de prédilection. Cependant, avant de se lancer à corps perdu dans le monde impitoyable de Dallas-Livre, il convient de mettre quelques petites notions de rangement de livres au point. Et fort heureusement, votre investigatrice préférée a de nouveau déniché tout un tas de conseils forts utiles au cours de ses pérégrinations...
Tout d'abord, la catégorisation des livres en grands genres. Comme Thursday Next dans la Grande Bibliothèque, le lecteur-acheteur aime évoluer entre les rayonnages de livres tout en sachant où il va. Depuis longtemps, les librairies ont séparé horreur/fantaisie/policier/essais/roman, rangeant dans cette dernière catégorie tout ce qui ne rentrait pas dans les autres. Mais ils se sont depuis rendu compte que cela ne suffisait pas. Forcément, qui aurait l'idée saugrenue de ranger dans le même genre Orgueil et Préjugés, Thérèse Raquin, Michael Toliver Lives et le Journal d'Anne Frank ? Exactement, personne!
Donc de nouvelles catégories émergent dans les rayonnages : romans contemporains, romans historiques, ... Sauf que voila. Les libraires, mesdames et messieurs, ça n'est plus ce que c'était, et surtout, ça ne lit pas forcément les bouquins que ça vend au passant. Du coup, on se retrouve avec des choses de ce genre, classant la dernière daube egyptisante et le nouveau Candace Bushnell dans la catégorie "Romans Historiques".
Chers étudiants futurs chômeurs ayant la possible éventualité hypothétique de devenir vendeur dans une librairie, s'il vous plait, évitez ce genre de connerie...
Ensuite, les fêtes calendaires. Tout élève de l'Ecole du Louvre, et autre n'importe quel gamin ayant été élevé dans un pays occidental à culture de tradition chrétienne (ou ayant la télé, ça marche aussi), a conscience de certaines dates clés. Et il va s'en dire que Noël est, sinon la plus connue, celle dont on ne se plante jamais sur la date. Que l'on ne sache pas ce qu'est le 11 novembre ou ce que signifie l'Assomption, bon... On se dit que regarder La Roue de la Fortune et Pokemon à longueur de journée, ça n'aide pas. Mais oublier que Noël, c'est au mois de décembre, voire même fin décembre si on est pointilleux, ça, ça ne pardonne pas.
Donc toujours les mêmes futurs pointeurs du pôle emploi, je rappelle les dates essentielles de notre calendrier : Noël, 25 décembre. Au pire, il y a toujours les cours d'Arts et Traditions Populaires pour tout ceux qui auraient besoin d'une petite mise au point.
Lo, pourrait être une bonne vendeuse de livres
Tout d'abord, la catégorisation des livres en grands genres. Comme Thursday Next dans la Grande Bibliothèque, le lecteur-acheteur aime évoluer entre les rayonnages de livres tout en sachant où il va. Depuis longtemps, les librairies ont séparé horreur/fantaisie/policier/essais/roman, rangeant dans cette dernière catégorie tout ce qui ne rentrait pas dans les autres. Mais ils se sont depuis rendu compte que cela ne suffisait pas. Forcément, qui aurait l'idée saugrenue de ranger dans le même genre Orgueil et Préjugés, Thérèse Raquin, Michael Toliver Lives et le Journal d'Anne Frank ? Exactement, personne!
Donc de nouvelles catégories émergent dans les rayonnages : romans contemporains, romans historiques, ... Sauf que voila. Les libraires, mesdames et messieurs, ça n'est plus ce que c'était, et surtout, ça ne lit pas forcément les bouquins que ça vend au passant. Du coup, on se retrouve avec des choses de ce genre, classant la dernière daube egyptisante et le nouveau Candace Bushnell dans la catégorie "Romans Historiques".
Chers étudiants futurs chômeurs ayant la possible éventualité hypothétique de devenir vendeur dans une librairie, s'il vous plait, évitez ce genre de connerie...
Ensuite, les fêtes calendaires. Tout élève de l'Ecole du Louvre, et autre n'importe quel gamin ayant été élevé dans un pays occidental à culture de tradition chrétienne (ou ayant la télé, ça marche aussi), a conscience de certaines dates clés. Et il va s'en dire que Noël est, sinon la plus connue, celle dont on ne se plante jamais sur la date. Que l'on ne sache pas ce qu'est le 11 novembre ou ce que signifie l'Assomption, bon... On se dit que regarder La Roue de la Fortune et Pokemon à longueur de journée, ça n'aide pas. Mais oublier que Noël, c'est au mois de décembre, voire même fin décembre si on est pointilleux, ça, ça ne pardonne pas.
Donc toujours les mêmes futurs pointeurs du pôle emploi, je rappelle les dates essentielles de notre calendrier : Noël, 25 décembre. Au pire, il y a toujours les cours d'Arts et Traditions Populaires pour tout ceux qui auraient besoin d'une petite mise au point.
Lo, pourrait être une bonne vendeuse de livres
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