La saison 3 de Doctos Who n'est pas très différente de la deuxième. Il y a toujours des aliens, les Daleks sont toujours les grands méchants, on voyage toujours dans le temps, quitte à aller passer le bonjour à Shakespeare, mais avec quelques petites variante (comme le double épisode où le Docteur se retrouve transformé en humain amoureux... oui, ça perturbe).
Non, les grands changements, il n'y en a que deux. Tout d'abord, l'apparition du spin-off Torchwood, qui débute à la fin de la saison deux avec la destruction de Torchwood Londres, se poursuit sur douze épisodes, et se termine par le double épisode final de la saison 3 de Doctor Who. Donc le mieux est encore de regarder les deux séries en parallèle. Ceci dit, le changement de ton entre les deux peut paraître brutal. Doctor Who reste une série familiale basée sur l'humour (on arrive tout de même à finir une pièce de Shakespeare par un Expeliarmus!), tandis que pour rire devant Torchwood, il faut chercher loin... C'est avec le personnage de Jack que la différence se fait sentir, avec un caractère assez différent d'une série à l'autre ( il n'hésitera pas à tirer sur ses coéquipiers dans Torchwood, tandis qu'il oscille entre humour et drague dans Doctor Who)
L'autre changement est l'arrivée de Martha Jones, nouvelle compagne du Docteur, jeune étudiante en médecine. Autant le dire tout de suite, Martha est la compagne que j'aime le moins. Pourtant, elle est gentille, drôle, et tente de faire son trou. Mais c'est raté. Et pour cause, bien qu'elle soit perdue dans une dimension parallèle depuis la bataille de Canary Warf à la fin de la saison 2, Rose est toujours présente. Le Docteur n'arrive pas à l'oublier, la mentionne souvent, au grand désespoir de Martha, et les choses s'empirent avec le retour de Jack, venu chercher une explication à sa condition d'immortel. Donc Martha... Voila.
Cette saison 3 continue sur la lancée, toujours drôle, avec un David Tennant de plus en plus attachant et des Daleks encore plus affreux. Et un final des plus riches, qui vaut le reste de la saison à lui tout seul (et pas seulement parce que Jack est de retour...)
Lo, va aller regarder la saison 4
Non, les grands changements, il n'y en a que deux. Tout d'abord, l'apparition du spin-off Torchwood, qui débute à la fin de la saison deux avec la destruction de Torchwood Londres, se poursuit sur douze épisodes, et se termine par le double épisode final de la saison 3 de Doctor Who. Donc le mieux est encore de regarder les deux séries en parallèle. Ceci dit, le changement de ton entre les deux peut paraître brutal. Doctor Who reste une série familiale basée sur l'humour (on arrive tout de même à finir une pièce de Shakespeare par un Expeliarmus!), tandis que pour rire devant Torchwood, il faut chercher loin... C'est avec le personnage de Jack que la différence se fait sentir, avec un caractère assez différent d'une série à l'autre ( il n'hésitera pas à tirer sur ses coéquipiers dans Torchwood, tandis qu'il oscille entre humour et drague dans Doctor Who)
L'autre changement est l'arrivée de Martha Jones, nouvelle compagne du Docteur, jeune étudiante en médecine. Autant le dire tout de suite, Martha est la compagne que j'aime le moins. Pourtant, elle est gentille, drôle, et tente de faire son trou. Mais c'est raté. Et pour cause, bien qu'elle soit perdue dans une dimension parallèle depuis la bataille de Canary Warf à la fin de la saison 2, Rose est toujours présente. Le Docteur n'arrive pas à l'oublier, la mentionne souvent, au grand désespoir de Martha, et les choses s'empirent avec le retour de Jack, venu chercher une explication à sa condition d'immortel. Donc Martha... Voila.
Cette saison 3 continue sur la lancée, toujours drôle, avec un David Tennant de plus en plus attachant et des Daleks encore plus affreux. Et un final des plus riches, qui vaut le reste de la saison à lui tout seul (et pas seulement parce que Jack est de retour...)
Lo, va aller regarder la saison 4
L'info de la journee n'est pas notre (mon) retour?
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