En sortant de l'Ecole, et comme à notre grande habitude dès que nous avons quelques instants à tuer (n'oublions pas que nous sommes étudiants, et que par définition, nous n'avons rien à faire de nos journées), nous nous sommes, Liz et moi, dirigées vers le Virgin Megastore du Louvre.
Comme à notre grande habitude, nous avons écumé sans plus de conviction les rayons de livres à la recherche de nouveautés palpitantes. Rien de nouveau sous le soleil, si ce n'est une grande place accordée à VGE. Logique quand on a peut-être frôlé la crise protocolaire avec la Dame galloise.
Comme à notre grande habitude, nous n'avons pu nous empêcher de regarder ce que la librairie mettait à disposition des plus jeunes, lâchés comme les innocents qu'ils sont dans cette jungle littéraire.
Et comme d'habitude, toute une table était réservée à Twilight. Bon, c'est pas qu'on commence tous à en avoir assez, mais il faudrait tout de même renouveler, parce que c'est pas comme ça qu'ils vont se forger une critique littéraire ces petits. (J'ouvre ici une parenthèse pour dire aux Fatals Picards qu'ils peuvent réécrire les paroles de la Sécurité de l'Emploi : il n'y a même plus besoin de Marc Levy, Stephenie Meyers fait très bien l'affaire!)
Mais au milieu de tout cet étalage, un ouvrage vampirico-fantastico-urbain est sorti du lot : Envoûtement, de Carrie Jones. Ce n'est pas la couverture aux réminiscences true bloodesques qui nous a attirée (elle fait preuve d'autant d'originalité que la première version de site internet de Ségolène), mais le bandeau, d'un rouge profond, et occupant un bon tiers de la couverture, et qui nous dit ceci :
Un superbe roman qui a de l'ADN de Twilight.
Alors en plus de décrédibiliser totalement ce roman qui aurait potentiellement pu avoir une once d'intérêt, cette accroche peut tout à fait être une injure pour l'auteur! Qui sait ? Est-ce que quelqu'un a été lui demander à cette pauvre dame si elle souhaitait que l'œuvre de sa vie soit comparée à Twilight ?
Donc Madame Jones, si votre livre se veut quelque peu intéressant, ce qu'on vous souhaite de tout cœur, nous somme avec vous dans cette passe douloureuse.
Lo, qui est ravie d'avoir pu taper sur Twilight, ça lui avait drôlement manqué!
Comme à notre grande habitude, nous avons écumé sans plus de conviction les rayons de livres à la recherche de nouveautés palpitantes. Rien de nouveau sous le soleil, si ce n'est une grande place accordée à VGE. Logique quand on a peut-être frôlé la crise protocolaire avec la Dame galloise.
Comme à notre grande habitude, nous n'avons pu nous empêcher de regarder ce que la librairie mettait à disposition des plus jeunes, lâchés comme les innocents qu'ils sont dans cette jungle littéraire.
Et comme d'habitude, toute une table était réservée à Twilight. Bon, c'est pas qu'on commence tous à en avoir assez, mais il faudrait tout de même renouveler, parce que c'est pas comme ça qu'ils vont se forger une critique littéraire ces petits. (J'ouvre ici une parenthèse pour dire aux Fatals Picards qu'ils peuvent réécrire les paroles de la Sécurité de l'Emploi : il n'y a même plus besoin de Marc Levy, Stephenie Meyers fait très bien l'affaire!)
Mais au milieu de tout cet étalage, un ouvrage vampirico-fantastico-urbain est sorti du lot : Envoûtement, de Carrie Jones. Ce n'est pas la couverture aux réminiscences true bloodesques qui nous a attirée (elle fait preuve d'autant d'originalité que la première version de site internet de Ségolène), mais le bandeau, d'un rouge profond, et occupant un bon tiers de la couverture, et qui nous dit ceci :
Un superbe roman qui a de l'ADN de Twilight.
Alors en plus de décrédibiliser totalement ce roman qui aurait potentiellement pu avoir une once d'intérêt, cette accroche peut tout à fait être une injure pour l'auteur! Qui sait ? Est-ce que quelqu'un a été lui demander à cette pauvre dame si elle souhaitait que l'œuvre de sa vie soit comparée à Twilight ?
Donc Madame Jones, si votre livre se veut quelque peu intéressant, ce qu'on vous souhaite de tout cœur, nous somme avec vous dans cette passe douloureuse.
Lo, qui est ravie d'avoir pu taper sur Twilight, ça lui avait drôlement manqué!
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