samedi 21 novembre 2009

Bilan de santé : syndrome de l'écran blanc

Certains souffrent du mal de la page blanche, forcément, quand tu blogues, la maladie s'adapte à ton cas. Et tu te retrouves atteint d'écranblantite aigüe.
Malheureusement, cette maladie sévère se traduisant par un manque d'inspiration, une lenteur d'écriture, et une flémigite de clavier, ne peut se guérir qu'avec de lourds remèdes. Tout d'abord, l'option légère, ne demandant que peu d'implication, le cinéma. Sauf que voila, c'est la crise mes chéris, les places de cinéma sont chères, il faut donc se contenter des films diffusés à la télé (et là je remercie publiquement Monique pour m'avoir rechargé mon ordinateur...). Ou d'attendre que je sois allée voir Twilight.
Un peu plus longue, l'option "lecture" demande également une participation plus importante de la part du patient, car on attend ici de lui qu'il s'avale l'intégralité d'un ouvrage. En ce moment, je lis Chic et Choc à New York, ça n'appelle aucune critique ni commentaire...
Enfin, le traitement lourd. L'exposition. Alors là, c'est de l'implication totale. Une participation active du malade au traitement : nécessité de prendre les transports, parfois même de paiement de billet d'entrée, d'attente dans les files, de bousculade avec d'autres visiteurs... Oui, tout ça est violent, mais le traitement est rapide, et en quelques heures, vous avez retrouvé un sujet de conversation.

Sauf que depuis trois jours, je répare les conneries d'Hector l'ordinateur mort, et que demain je passe ma journée à l'Ecole à tenter de la vendre à des lycées. Elle est dure la vie parfois.

Lo, veut un sujet croustillant

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