Je m'étais décidée, au début de l'été, à passer mes vacances à Paris à faire toutes les expositions que je n'ai pas pu faire au cours de l'année. Après les Arts Déco jeudi, c'était au tour du Louvre.
Oui, nous sommes samedi, au mois de juillet, alors qu'il est loin de faire un temps radieux sur la capitale... Donc je m'apprêtais à me lancer dans une expédition suicide au milieu de groupes de touristes. Surtout si on prend en compte que mes rares aventures au Louvre le samedi se sont résumées à des révisions de TDO sculpture en 2e année, entre 9 et 13. Autrement dit, des heures où les salles de sculptures d'Europe du Nord sont vides. Je sais, elles sont vides tout le temps... Passons!
Le but de cette sortie était tout d'abord l'exposition de photographies sur le Louvre pendant la Guerre. Située dans l'espace d'exposition du Louvre médiéval, elle présente plusieurs photographies de ce qu'a été le Louvre pendant l'Occupation, des visites d'officiers allemands, aux déménagements des oeuvres, dont la Joconde et la Victoire de Samothrace, en passant par les impacts de balles sur la façade de la Grande Galerie et le crash d'un avion anglais dans la rue de Rivoli.
L'exposition est très bien faite. Courte, des textes clairs (même qu'on a réussi à tous les lire, c'est dire!)et surtout des petits plans du Louvre restituant chaque photographie dans le bâtiment. On ressent ici l'influence des cours d'histoire des collection!
Enfin le grand moment d'émotion fut la découverte d'une photographie figurant Jaujard organisant une visite du Louvre à des responsables allemands (et avouons qu'il était plutôt bel homme!)
Ensuite l'exposition Breguet sur l'horlogerie. Donc que des horloges, des montres, des pendules. Palpitant il faut bien l'avouer. Surtout que dès l'entrée, on n'entend qu'une chose : les gardiennes de salle se plaindre que "il caille ici, et en plus qu'est-ce qu'on s'emmerde". Y a pas à dire, ça donne envie de rester!
Cependant, félicitons l'effort de muséographie. Déjà, les vitrines sont disposées en arc de cercle (et le rond, ça change beaucoup du carré habituel!). En plus de ça, certains objets sont disposés sur des socles animés, permettant aux objets de tourner et au visiteur d'en voir les deux faces. Enfin, le glossaire, disposé au centre de l'exposition, et plus qu'indispensable à la compréhension des termes! (non parce que là, même quand Perceval comprend, c'est bien plus compréhensible...) Et comble du must chic allant parfaitement bien avec les objets présentés et le public qui s'y presse : l'existence d'un mini site Internet, pour ceux que ça dit...
Oui, nous sommes samedi, au mois de juillet, alors qu'il est loin de faire un temps radieux sur la capitale... Donc je m'apprêtais à me lancer dans une expédition suicide au milieu de groupes de touristes. Surtout si on prend en compte que mes rares aventures au Louvre le samedi se sont résumées à des révisions de TDO sculpture en 2e année, entre 9 et 13. Autrement dit, des heures où les salles de sculptures d'Europe du Nord sont vides. Je sais, elles sont vides tout le temps... Passons!
Le but de cette sortie était tout d'abord l'exposition de photographies sur le Louvre pendant la Guerre. Située dans l'espace d'exposition du Louvre médiéval, elle présente plusieurs photographies de ce qu'a été le Louvre pendant l'Occupation, des visites d'officiers allemands, aux déménagements des oeuvres, dont la Joconde et la Victoire de Samothrace, en passant par les impacts de balles sur la façade de la Grande Galerie et le crash d'un avion anglais dans la rue de Rivoli.
L'exposition est très bien faite. Courte, des textes clairs (même qu'on a réussi à tous les lire, c'est dire!)et surtout des petits plans du Louvre restituant chaque photographie dans le bâtiment. On ressent ici l'influence des cours d'histoire des collection!
Enfin le grand moment d'émotion fut la découverte d'une photographie figurant Jaujard organisant une visite du Louvre à des responsables allemands (et avouons qu'il était plutôt bel homme!)
Ensuite l'exposition Breguet sur l'horlogerie. Donc que des horloges, des montres, des pendules. Palpitant il faut bien l'avouer. Surtout que dès l'entrée, on n'entend qu'une chose : les gardiennes de salle se plaindre que "il caille ici, et en plus qu'est-ce qu'on s'emmerde". Y a pas à dire, ça donne envie de rester!
Cependant, félicitons l'effort de muséographie. Déjà, les vitrines sont disposées en arc de cercle (et le rond, ça change beaucoup du carré habituel!). En plus de ça, certains objets sont disposés sur des socles animés, permettant aux objets de tourner et au visiteur d'en voir les deux faces. Enfin, le glossaire, disposé au centre de l'exposition, et plus qu'indispensable à la compréhension des termes! (non parce que là, même quand Perceval comprend, c'est bien plus compréhensible...) Et comble du must chic allant parfaitement bien avec les objets présentés et le public qui s'y presse : l'existence d'un mini site Internet, pour ceux que ça dit...
Bon, La Hyre... ça sera pour une autre fois. Ou pas du tout même...
Lo
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