Être élève à l'Ecole du Louvre fournit tout un tas d'avantages sur lesquels nous ne reviendrons pas ici, mais comporte tout de même certains inconvénients... Et le plus embêtant est la nouvelle faculté que tout étudiant développe face à critiquer les scènes et décors de films. Car après avoir ingurgité des centaines et des milliers de clichés, on ne peut que remarquer les petits détails qui tuent au cinéma.
Le bélier d'Ur dans la chambre d'Olympias dans le terriblissime Alexandre d'Oliver Stone, les pyramides maya ornées de symboles aztèques dans la jungle amazonienne d'Indiana Jones, la construction de pyramides hautement improbable dans 10 000, sans parler du génial Da Vinci Code.
Et la tapisserie de la Dame à le Licorne dans la tour de Gryffondor.
Certes, nous ça fait bien longtemps qu'on les a remarqué les lapins sur les murs de la tour! Par contre, pour The Art Newspaper, il aura fallu 10 ans, 7 livres et 6 films pour qu'ils s'en rendent compte!
Mais ce qu'il y a, c'est que cette tapisserie est loin d'être le seul élément artistico-historique des décors! Car si on regarde bien les murs du chateau, on y voit des vases à cabochons, une pensine très XIIIe, la leçon d'anatomie de Rembrandt décrochée du mur par Rusard, et le Baltazar Castiglione de Raphael faisant office d'oncle à Sirius.
Donc après ces quelques considérations artistiques, désormais (enfin!) reconnues par la presse, je propose à la rentrée la création d'une nouvelle spécialité destinée à étudier au plus près l'inclusion des éléments majeurs de l'histoire de l'art à Poudlard. Bon au pire, on peut faire passer ça dans aménagement des grandes demeures, il y a suffisamment de couloirs à Poudlard pour que ça soit une grande demeure!
Le bélier d'Ur dans la chambre d'Olympias dans le terriblissime Alexandre d'Oliver Stone, les pyramides maya ornées de symboles aztèques dans la jungle amazonienne d'Indiana Jones, la construction de pyramides hautement improbable dans 10 000, sans parler du génial Da Vinci Code.
Et la tapisserie de la Dame à le Licorne dans la tour de Gryffondor.
Certes, nous ça fait bien longtemps qu'on les a remarqué les lapins sur les murs de la tour! Par contre, pour The Art Newspaper, il aura fallu 10 ans, 7 livres et 6 films pour qu'ils s'en rendent compte!
Mais ce qu'il y a, c'est que cette tapisserie est loin d'être le seul élément artistico-historique des décors! Car si on regarde bien les murs du chateau, on y voit des vases à cabochons, une pensine très XIIIe, la leçon d'anatomie de Rembrandt décrochée du mur par Rusard, et le Baltazar Castiglione de Raphael faisant office d'oncle à Sirius.
Donc après ces quelques considérations artistiques, désormais (enfin!) reconnues par la presse, je propose à la rentrée la création d'une nouvelle spécialité destinée à étudier au plus près l'inclusion des éléments majeurs de l'histoire de l'art à Poudlard. Bon au pire, on peut faire passer ça dans aménagement des grandes demeures, il y a suffisamment de couloirs à Poudlard pour que ça soit une grande demeure!
Lo, qui veut être prof de CO
P.S. On notera que dans l'article de Art Newspaper, on ne fait pas mention de la tour de Gryffondor... Ils n'ont peut-être pas capté qu'elle était là aussi...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire