Oui mais pourquoi les collages de Max Ernst à Orsay, alors qu'ils datent de 1934, et que depuis cinq ans on nous répète que Orsay, c'est 1848-1914 ?
Pour avoir la réponse, il suffit de tendre l'oreille et d'écouter ce que dit la guide de l'exposition (non, nous ne faisions pas partie de la visite guidée, nous avons juste fait du sur-place, le temps d'écouter le pourquoi du comment). Donc pourquoi les collages à Orsay ? Tout simplement parce que pour réaliser ces dessins, Ernst s'est servi de gravures du XIXe, utilisées dans les romans feuilletons publiés dans les magazines. CQFD.
Ces précisions connues, nous pouvons commencer la visite.
Les collages, c'est quoi ?
Un recueil de cinq livres surréalistes, sans texte, uniquement composés de planches : les collages. Les cinq livres présentent cinq histoires surréalistes différentes, avec des thèmes surréalistes, et des images surréalistes... Autrement dit, il doit peut-être y avoir quelque chose à comprendre, mais nous, nous n'avons même pas essayé.
Non, nous avons juste admiré, béates, les centaines de pages accrochées sur les murs de cinq salles, peintes au couleur du livre présenté (et le violet foncé pour les murs, ça rend très bien!). C'est tout.
Lo, qui va aller chercher ses vieux magazines...
Pour avoir la réponse, il suffit de tendre l'oreille et d'écouter ce que dit la guide de l'exposition (non, nous ne faisions pas partie de la visite guidée, nous avons juste fait du sur-place, le temps d'écouter le pourquoi du comment). Donc pourquoi les collages à Orsay ? Tout simplement parce que pour réaliser ces dessins, Ernst s'est servi de gravures du XIXe, utilisées dans les romans feuilletons publiés dans les magazines. CQFD.
Ces précisions connues, nous pouvons commencer la visite.
Les collages, c'est quoi ?
Un recueil de cinq livres surréalistes, sans texte, uniquement composés de planches : les collages. Les cinq livres présentent cinq histoires surréalistes différentes, avec des thèmes surréalistes, et des images surréalistes... Autrement dit, il doit peut-être y avoir quelque chose à comprendre, mais nous, nous n'avons même pas essayé.
Non, nous avons juste admiré, béates, les centaines de pages accrochées sur les murs de cinq salles, peintes au couleur du livre présenté (et le violet foncé pour les murs, ça rend très bien!). C'est tout.
Lo, qui va aller chercher ses vieux magazines...
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